SOYONS ACTEUR DE NOTRE SANTE

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Groupe Femmes Départemental-Groupe Entourage Départemental



Siège Départemental : 12 rue de Brest - St-Brieuc - 02 96 33 38 28 - C.C.P. Rennes 1 080.88 -






RESPONSABLES


_Jean-Michel Geffray (Président départemental )-Broons- 02 96 84 62 51 - 06 07 44 93 25
_ Marie Noelle Thomas (Secrétaire départementale) -06 64 04 63 49
_ Jacqueline Toqué (Responsable du "groupe entourage")- Pordic- 02 96 79 37 44 - 06 08 88 58 51
_ Marie-Thérèse Martin (Trésorière départementale) - 02 96 34 17 12
_ Françoise Lamidon ( Trésorière départementale adjointe)06 26 90 77 66
_ Jean-Marc Leclercq ( 1er Vice-président départemental-Responsable milieu hospitalier-Responsable du blog Alcool Assistance 22 Perros-Guirec- 06 60 15 51 29
_Jean-Yves Rio ( 2ème Vice-président départemental-responsable revue départementale) -Plouc sur Lié - 02 90 03 61 83 - 06 72 70 01 31
_Michel Doré -(Responsable milieu carcéral) 02 96 42 30 38
_ Jean-Pierre Collet (Responsable milieu carcéral) -02 96 64 36 75
_Yvette Le Priol ( Secrétaire départementale adjointe- Responsable communication et fiches de vie des lieux d'accueil)- Loudéac- 02 96 28 24 23- 06 20 14 44 92
_ Marie-Thérèse Martin ( Trésorière départementale adjointe- Responsable gestion des lieux d'accueil )- Plédéliac- 02 96 34 17 12
_ Nicole Méar ( Responsable du "groupe Femmes" - Saint-Brieuc- 02 96 78 39 69








vendredi 18 août 2017

LE 9 SEPTEMBRE JOURNEE MONDIALE DU SAF


                                             Résultat de recherche d'images pour "photo enfant saf"

INFORMEZ - VOUS ET DIFFUSER :

 -DANS VOTRE LIEU D'ACCUEIL

 -LORS DU FORUM DES ASSO DE VOTRE COMMUNE

 -LORS D'UNE ACTION D'INFORMATION
 -CHEZ NOS MEDECINS, PHARMACIES, KINE ETC ...
 -EN PREVENTION SCOLAIRE

- AUTOUR DE VOUS TOUT SIMPLEMENT

DE LA DOCUMENTATION PEUT ETRE DEMANDEE GRATUITEMENT AU SIEGE D'ALCOOL ASSISTANCE PARIS ( 01 47 70 34 18 ) CONTRE UN PETIT RAPPORT 
D'ACTIVITE DE VOTRE ACTION.
SACHEZ ENFIN QUE POUR LA PREMIERE ANNEE UN " SAFTHON" EST LANCE EN
ASSOCIATION AVEC SAF-FRANCE ET EN PARTENARIAT AVEC ALCOOL ASSISTANCE

 RELEVONS LE DEFI !!!!

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UNE VIDEO : VIVRE AVEC LE SAF ! (Cliquez sur le titre pour ouvrir )

Sur youtube n'hésitez pas à voir d'autres vidéos sur le SAF
800.000  naissances en France chaque année 8000 enfants atteints d'un syndrôme d'alcoolisation foetale.
Sur une génération(20 ans) cela représente 160.000 enfants en France
N'est-ce pas un drame pour une société qui se dit évoluée sachant que c'est 100% évitable
avec ZERO ALCOOL ?
Faites le savoir autour de vous !!!!

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MIEUX CONNAITRE LE SAF   (cliquez sur le titre pour ouvrir le lien)


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lundi 14 août 2017


ADDICTION-DEPENDANCE


                                            Résultat de recherche d'images pour "photo addiction" 
 Cliquez sur le lien ci-dessous

https://www.planetesante.ch/Magazine/Addictions/Drogues/L-addiction-et-la-dependance-sont-deux-choses-differentes#.WZFpgdv54SM.facebook

lundi 7 août 2017

     RECOMMANDATIONS DANS LES ANNEES 30

  





                                   Aucun texte alternatif disponible. 

lundi 10 avril 2017

ALCOOLISME ET GUERISON ?

Un verre de temps en temps,  peut - on encore ?

                                                   Résultat de recherche d'images pour "photo verre alcool"    



Cliquez sur le lien ci-dessous


http://leplus.nouvelobs.com/contribution/184896-alcoolisme-le-seul-bon-sevrage-c-est-l-abstinence-totale.html


                                                   

dimanche 9 avril 2017

QUELLE BELLE ASSEMBLEE GENERALE !



A.G du 2 avril 2017


L'Assemblée Générale des Côtesd'Armor se déroulait à Hénanbihen ce dimanche 2 avril 2017.
Après les présentations détaillées et leur approbation du rapport d'activités de l' exercice de 2016 , du rapport financier et la présentation  du budget prévisionnel 2017, des interventions diverses et de qualités sur le thème de la SANTE AU TRAVAIL ont ponctué cette matinée .
                                Résultat de recherche d'images pour "photos de grand repas"
                              
Devant plus de 100 personnes la remise de médailles et diplômes pour 10 ans et 25 ans d'abstinence
a généré une montée d'émotions déjà avivée précédemment par des parcours de vie poignants.
Le repas qui a suivi a lui aussi réuni une centaine de personnes et démontré si il en était besoin
que convivialité, amitié et dynamisme étaient bien présents au sein d'Alcool Assistance des Côtes d'Armor

vendredi 17 mars 2017

UN PLAN NATIONAL DE LUTTE CONTRE L'ALCOOLISME ?

                                         

        Association et mesures d'action                           



                                                 



         cliquez sur le lien ci - dessous
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/vers-un-plan-national-de-lutte-contre-la-surconsommation-d-alcool-662516.html

Alors cela avance sur le baclofène ?

cliquez sur le lien ci-dessous

https://www.franceinter.fr/societe/le-baclofene-veritable-espoir-de-la-lutte-contre-l-alcool

Bientôt l'éthylotest pour tous ?



                                       

Cliquez sur le lien ci - dessous

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/03/16/01016-20170316ARTFIG00205-securite-routiere-l-ethylotest-antidemarrage-pourrait-etre-etendu-a-l-ensemble-du-territoire.php

mercredi 22 février 2017

Assemblée générale de Loudéac

Belle et riche assemblée générale à Loudéac ce samedi 11 février


                                           Un public nombreux et attentif

                                              Des interventions variées et de qualité


                                        Beaucoup d'émotion lors de la remise de la médaille de la ville
                                        à Monsieur Louis AVIS président honoraire et fondateur du lieu
                                        d'accueil de Loudéac par Monsieur le député Marc Le Fur

L'alcool....une fuite ? ! ? !

Cliquez sur le lien
http://www.courrier-picard.fr/12095/article/2017-02-20/lalcool-maidait-fuir-mes-soucis

lundi 6 février 2017


Pour ou Contre: passer un mois sans boire de l'alcool, est-ce intéressant?

Février sans alcool ?
cliquez sur le lien

CONSEILS POUR AIDER

Que faire pour accompagner un dépendant et/ou son entourage !

 Cliquez sur le lien
 




           

lundi 30 janvier 2017

lundi 9 janvier 2017

Alcool et génétique ?




ADDICTION – Des chercheurs américains ont découvert que l’envie de boire est en partie liée à la génétique des individus. Mieux, ils ont identifié le mécanisme biologique en cause, ce qui ouvre la voie à de nouvelles pistes pour traiter la dépendance à l'alcool.
Lors d’un repas en famille ou entre amis, il y a ceux qui se resservent du vin et du champagne constamment, et les autres. Ils peuvent tout à fait s'en passer ou se satisfont d’une gorgée de temps en temps. Mais ce grand écart ne serait pas forcément qu’une question de culture ou d’éducation. D’après les travaux de chercheurs américains, publiés dans la revue scientifique PNAS, l’appétence à l’alcool trouverait son origine dans la génétique.

Une variation génétique en cause

Les scientifiques de l’université du Texas Southwestern Medical Center (Dallas) ont ainsi identifié le gène qui détermine l’envie ou non de boire : une variation du gène β-Klotho (KLB). Ce segment d’ADN est déjà connu pour être impliqué dans la consommation d’alcool, comme l’explique le site de santé Santelog. Ainsi, près de 40% de la population en serait porteur.

Dans le détail, les scientifiques ont procédé en deux étapes. Une méta-analyse leur a permis de passer au crible le génome (l’ensemble des gènes) de 105.000 personnes. Après les avoir classées en fonction de leur consommation d’alcool, les chercheurs ont pu identifier la fameuse variation génétique. Verdict : ceux qui le possèdent buvaient généralement moins et parvenaient davantage à réguler leur consommation d’alcool.

Améliorer la prise en charge et les traitements

Ces résultats ont été confirmés sur des souris génétiquement modifiées, dont le gène KLB a été supprimé. Alors qu’elles avaient le choix entre boire de l’eau ou de l’alcool, elles se sont davantage dirigées vers les boissons à base d’éthanol. Mais surtout, les petits mammifères ont eu tendance à boire en plus grande quantité.

Mieux encore, cette expérience a permis aux chercheurs de comprendre le processus biologique en cause. Le gène KLB code la protéine du même nom, qui se situe dans le système nerveux. Elle interagit notamment avec une hormone produite par le foie : FGF21. Dans la seconde expérience, les souris ont reçu l’hormone alors même qu’elles ne possédaient pas le gène. Mais rien n’a changé : elles ont tout de même préféré l’alcool. Conclusion des auteurs : "la capacité de FGF21 à supprimer la préférence pour l’alcool dépend de la présence du gène".

Cette découverte présente surtout un intérêt pour les personnes dépendantes à l’alcool. L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) estime que 10% des Français de plus 18 ans sont concernés. Or, une consommation abusive accentue le risque de complications hépatiques, cardiovasculaires, neurologiques ou encore de cancers. Actuellement, l’alcool représente  la deuxième cause de décès dans l’Hexagone. D’où l’importance de mieux cibler les personnes à risques et d’améliorer la prise en charge des patients. 

vendredi 6 janvier 2017

Alcool : les français toujours gros buveurs

La France figure toujours parmi les plus gros buveurs d'alcool. Pourtant, c'est une des drogues les plus meurtrières...

                                                                                                             
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samedi 31 décembre 2016

jeudi 15 décembre 2016

ALCOOL ET CONDUITE

Chaque année, plus de 1000 personnes meurent, et trois fois plus sont gravement blessées, dans un accident de la route impliquant un conducteur positif à l'alcool.
Ne laissons pas nos proches reprendre le volant lorsqu’ils ont bu : "quand on tient à quelqu’un, on le retient."
 

          Cliquez sur le lien ci dessous

                https://youtu.be/hCBkUMJPZ1o?t=45

lundi 5 décembre 2016

jeudi 1 décembre 2016

SYSTEME DE RECOMPENSE ET ADDICTION

PETITE VIDEO POUR COMPRENDRE
                                                                                                
          Cliquez sur le lien                                                       

SYSTEME DE RECOMPENSE ET ADDICTION


        

              

QUE DEVIENT L'ALCOOL DANS L'ORGANISME ?

POUR LE SAVOIR CLIQUEZ SUR LE LIEN .
     

                       https://t.co/DzqzUfZxvn


Résultat d’images pour photo courbe d'alcoolémie

jeudi 17 novembre 2016

Femmes : enquête sur les nouvelles victimes de l'alcool

                                                                                                                                                                                      
POUR VOIR LA VIDEO CLIQUEZ SUR LE LIEN CI-DESSOUS
(remettre au début si besoin)


mercredi 16 novembre 2016

L'alcool reste l'une des premières causes d'hospitalisation en France

Avant de tuer près de 50.000 personnes chaque année, l'alcool conduit bien souvent à l'hôpital. Sa consommation reste l'une des premières causes d'hospitalisation en France, devant le diabète, selon le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH).
   
 

Depuis les années 1960, la consommation globale d'alcool, principalement de vin de table est en nette diminution. Pourtant, le nombre d'hospitalisations liées à l'alcool ne cesse d'augmenter, selon l'Institut national de Veille Sanitaire (InVS). En 2012, l'alcool a induit plus de 580.000 hospitalisations de courts séjours en médecine ou chirurgie, soit 11,3% de plus qu'en 2006. Un chiffre qui explose pour les journées passées en psychiatrie. L'alcool a provoqué 2,7 millions de journées d'hospitalisation en psychiatrie, représentant à lui seul 10,4% du total des journées dans ces services, précise le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire.
Au total, l'alcool reste l'une des premières causes d'hospitalisation en France, devant le diabète en nombre de séjours. Pourtant le diabète est considéré comme l'une des pathologies induisant le plus d'hospitalisations. "Le coût estimé (de l'alcool ndlr) s'élève à près de 3,6% de l'ensemble des dépenses hospitalières en 2012", souligne le BEH, qui précise que l'augmentation du nombre d'hospitalisations est liée au fait que les soins se sont améliorés et que les patients ont plus tendance à consulter qu'auparavant.

Intoxications, sevrages et complications

Les causes d'hospitalisations liées à l'alcool peuvent être multiples : intoxications aiguës, qui peuvent mener au coma éthylique, sevrages alcooliques, troubles mentaux liés à l'alcool, cirrhoses, cancers ou encore soins maternels pour des lésions fœtales causées par l'alcoolisme de la mère. Mais l'essentiel des admissions hospitalières sont dues aux complications de l'alcool, ces maladies qui apparaissent après des années de consommation excessive. Il y a cinq fois plus de patients hospitalisés pour des complications que pour la seule dépendance à l'alcool.
Le nombre d'intoxications pour alcoolisation massive est en augmentation depuis 6 ans. Mais contrairement aux idées reçues, il reste stable chez les jeunes (moins de 24 ans) malgré le phénomène de binge drinking. "Ce type de comportement n'est pas observé que chez les jeunes, il existe également chez les adultes plus âgés", explique l'étude. C'est en réalité chez les quadragénaires que l'ingestion massive d'alcool est le plus préoccupante.

Une gravité qui augmente crescendo

L'étude montre également que les dangers de l'alcool croient de manière graduelle, au fil des années. Les patients hospitalisés pour une intoxication aigüe ont en moyenne 43 ans, 48 ans pour ceux hospitalisés pour dépendance et enfin 58 ans pour ceux  admis pour des complications (troubles neurologiques, cancers, cirrhoses,...). Cela confirme "l'insuffisante prise en charge des comportements d'alcoolisation excessive et du sevrage, d'abord aux Urgences puis ensuite au cours d'hospitalisations pour ivresse", déclare à l'AFP le Dr Michel Reynaud, l'un des auteurs de l'étude.
"Quand on arrive aux complications à 57 ans en moyenne (cirrhoses, troubles neurologiques, cardiovasculaires comme l'hypertension ou dilatation cardiaque, accidents, cancers...) c'est qu'on a loupé toutes les phases préliminaires, de l'ivresse aiguë en passant par l'alcoolisation excessive chronique puis la dépendance", commente-t-il.
L'objectif serait donc de limiter ces complications, en discutant des problèmes d'alcool dès les premières hospitalisations, pour, le cas échéant, orienter le patient vers des consultations en addictologie. Les auteurs recommandent des actions ciblées sur les régions les plus touchées, notamment dans le Nord et à la Réunion, où les taux d'alcoolisation aiguë et de dépendance à l’alcool sont les plus élevés de France. Après le tabac, l'alcool est la deuxième cause de mortalité évitable en France, tuant 49.000 personnes chaque année.
Source : L’alcool, une des toutes premières causes d'hospitalisation en France. F. Paille et M. Reynaud, BEH, 7 juillet 2015

Le nombre de bière qui augmenterait votre risque de cancer de la prostate

                


                     
Seins, intestins, bouche, œsophage... Et maintenant prostate. L’alcool est de nouveau pointé du doigt à cause des risques de cancer.
 
Brunes, blondes, rousses... Chaque soir c’est le même rituel : vous commencer toujours à vos détendre par une bonne bière bien fraîche. Attention si vous êtes un homme, recommande une étude de l’université de Victoria (Australie), une pinte par jour peut augmenter de 23% votre risque de cancer de la prostate .
C’est le résultat d’une analyse de 27 études qui liaient consommation d’alcool et cancer de la prostate. Selon les chercheurs, les hommes qui buvaient l’équivalent d’une pinte par jour ou de deux verres de vin de 175 ml, augmenteraient considérablement leurs risques au contraire des gens qui n’avaient jamais bu d’alcool.





Avant cette étude, le risque était surtout lié à la consommation excessive d’alcool. De plus, les anciens buveurs, contraints d’arrêter pour problèmes de santé ou autre, étaient rangés dans la même case que ceux qui n'avaient jamais bu. Cela réduisait considérablement l’écart de risque entre les buveurs et les non/anciens-buveurs. En réalité, il existe beaucoup moins de risques si l’on a jamais bu d’alcool souligne cette nouvelle étude.

La manière dont le cancer est déclenché n’a pas encore été comprise

"A chaque fois que nous buvons, les causes qui entraînent le risque de cancer se mettent en marche à un degré directement liée à la quantité consommée et sans seuil de sécurité", a déclaré le chercheur principal Tim Stockwell, directeur du département de recherche sur l’addiction à l’université de Victoria.
Selon le Dr Jasmine Just, du Cancer Research britannique, la corrélation entre les deux n’est pas encore sûre : "L'alcool a été liée à plusieurs types de cancers, y compris le cancer du sein et de l'intestin - mais il n'est pas aussi clair qu’il augmente le risque de cancer de la prostate. Cette étude prend en compte les facteurs qui pourraient être à l’origine de ce lien alors qu’ils étaient moins évidents dans les recherches précédentes. Il est cependant trop tôt pour dire avec certitude si l'alcool augmente le risque de cancer de la prostate" a-t-elle déclaré .
 








En savoir plus sur http://www.medisite.fr/a-la-une-le-nombre-de-biere-qui-augmente-votre-risque-de-cancer-de-la-prostate.1222751.2035.html#V1XiuvHLY86KRhqE.99